Le projet MOM était mené par une équipe d’Al Khatt, RSF et des collaborateurs:

Al Khatt: 

Malek Khadhraoui, Directeur Al Khatt

Monia Ben Hamadi, Responsable Projet MOM

Kais Zriba, Responsable Projet MOM 

Marwen Ben Mustapha, infographies

Kais Berrjab, recherche cadre legal 

Walid Mejri, recherche & traduction arabe

Hanene Zbiss, traduction arabe

Chayma Mehdi, integration web

Sameh Krichah, rédaction & traduction

Haifa Mzalouat, rédaction

Hortense Lac, rédaction

Reporters sans frontières:

Olaf Steenfadt, Chef de Projet MOM

Lisa Kretschmer,  Gestion Projet MOM

Katharina Zuegel, Responsable Projet MOM Tunisie 

Clothilde Le Coz, Responsable Projet MOM Tunisie

Al Khatt est une organisation non gouvernementale tunisienne à but non lucratif fondée en 2013.

Al Khatt se veut un laboratoire d’idées et un espace de réflexion sur l’avenir du journalisme à l’ère de l’Internet. Une réflexion globale aussi bien sur la production de contenu journalistique que sur la manière de le diffuser et de le partager.

Al Khatt considère que le droit à une information libre et de qualité est un droit fondamental des citoyens et qu’agir pour la liberté de la presse, la liberté d’expression et l’accès à l’information, c’est agir pour mettre en place un système démocratique et transparent en Tunisie.

Reporters Sans Frontières, RSF a été fondée en 1985 à Montpellier (France) par quatre journalistes. L’association est reconnue d’utilité publique en France et est dotée d’un statut consultatif auprès de l’Organisation des Nations Unies et de l’UNESCO. RSF s’engage pour la liberté de la presse, soutient les médias indépendants et protège les journalistes en danger dans le monde entier. Sa mission est de:

·       surveiller en permanence les attaques contre la liberté de la presse à travers le monde

·       dénoncer de telles attaques dans les médias;

·       agir en coopération avec les gouvernements pour lutter contre la censure et les lois qui visent à restreindre la liberté d'information;

·       aider moralement et financièrement les journalistes persécutés, ainsi que leurs familles.

·       offrir une assistance matérielle aux correspondants de guerre afin d'améliorer leur sécurité.

Depuis 1994, la section allemande est active à Berlin. Bien que la section allemande travaille en étroite collaboration avec le Secrétariat international à Paris pour étudier et évaluer la liberté des médias dans le monde entier, elle est indépendante sur le plan organisationnel et financier. Elle a demandé une subvention au ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du développement - afin de financer le projet Media Ownership Monitor.

Le Global Media Registry (GMR) collecte, compile et met à disposition des ensembles de données et des informations contextuelles - accessibles au public ou autodéclarés - sur les médias du monde entier.

Ce faisant, l'objectif est d'améliorer la transparence, la responsabilisation et la responsabilité dans l'espace de l'information. Ainsi, le GMR facilite de meilleurs choix et prises de décision, tant algorithmiques qu'humaines, de toutes les parties prenantes. Ceux-ci peuvent inclure tous les citoyens et consommateurs, les régulateurs et les donateurs, ainsi que le secteur privé - par exemple les annonceurs et les intermédiaires (c'est-à-dire les plateformes et les distributeurs).

En fournissant ce service public en tant qu'entreprise sociale, le Global Media Registry contribue à l'avancement des libertés d'information et d'expression au sens large.

Elle a été fondée en tant que spin-off du projet Media Ownership Monitor, qu'elle exploite désormais en tant que SARL (Société à Responsabilité Limitée) à but non lucratif enregistrée en vertu du droit allemand.